lundi 23 mars 2015

Echec et mat

L'échiquier égyptien...

Un grand jour pour la vérité du peuple et du Créateur. Un grand jour aussi pour la mémoire bafouée et spoliée des anciens Égyptiens.

L'idée de l'échiquier égyptien n'est pas nouvelle, on l'a déjà évoqué sur ce blog ; comme l'on a supposé récemment que Ramses II ne serait simplement un pharaon (un roi) mais il aurait une dimension divine : il serait un Messager comparable à Hermès messager des dieux. D'une manière générale, il va falloir maintenant envisager la hiérarchie égyptienne (et les dynasties) et les divinités sous un angle jamais abordé par les égyptologues : l'échiquier égyptien.
L'idée a pris forme dans ma tête en observant cette belle photo du pont de Mostar, sans doute le pont le plus beau au monde. C'est un pont à arc. Regardez le reflet dans l'eau. On y voit exactement ce que nous avons dans le mythe d'Anzar personnifié par l'arc-en-ciel. On voit aussi l'arc, c'est lui le vieux. Les noces (d'Anzar). On y voit aussi la régle, la loi, le roi ; la mistara (règle) en arabe est issu de là. On en reparlera plus longuement du Pont de Mostar prochainement, là il faut se limiter à une découverte essentielle.

Probablement la parole d'un simple Kabyle ne pèsera pas lourd face à la machine à fourbis des usurpateurs et/ou simplement du grand public embarqué dans des théories mensongères. Il n'en demeure pas moi que le défi est ouvertement lancé à tous les spécialistes dans ce domaine d'apporter la preuve du contraire de ce qui va suivre :
1
Echec et mat vient de l'égyptien ancien Sethi + Maât 
L'arabe a volé : cheikh pour Sethi I (père de Ramsès II) ou Seth (le shikh (maître, patriarche ?) en kabyle vient aussi de là), et probablement assad (lion, au sens de roi) aussi ;  l'arabe a travesti le sens initial des Échecs qui seraient égyptiens anciens et en rien arabe ou indiens. L'égyptien ancien Seth ou Sethi aurait probablement aussi donné sdhah en kab comme en argot arabe nord-africain stah pour "terrasse" (plateau), voire même svah en kab et sabah en arabe pour "matin" (à vérifier).
2
Les anciens Grecs n'ont pas inventé le monde ou les maths, ni le mot mathématiques "qui aime apprendre" d'ailleurs : c'est le Maât, l'ordre des choses des Égyptiens anciens. Peut-être bien que Maât serait le pont ou une partie du pont que vous voyez plus haut qui a une relation directe avec les notions de Loi, roi, règle, mesures, calcul. Donc on est sur la trace des chiffres aussi, qui comme les échecs, ont été volés car la paternité de l'invention des chiffres a été attribué aux arabes (plus gros mensonge que ça, y'en a pas !), puis aux indiens. 

Là c'est terminé, la majestueuse civilisation égyptienne ancienne est en mesure de défendre et de démontrer ses inventions usurpés par des hordes d'ignorants. Et pour achever les ignares et voleurs hilaliens, je suppose qu'ils ont volé le nom de Maât, traduit comme "qui aime apprendre" en grec ancien pour leur terme correspondant (mathématique), et l'ont travesti, façon de le domestiquer, en...baâth (réveil, résurrection) en arabe des vrais arabes d'Orient : c'est le nom d'un ignoble parti Baas et ses filiales nord-africaines responsable de l'arabisation de nos contrées avec comme conséquence le terrorisme et l'ignorance ; tandis que ce terme en argot arabe algérois b3ath signifie "chercher, rechercher, envoyer" càd on va dans le sens de "l'Envoyé, donc de Messager" (en arabe des arabes rassoul, alors...). 
En kabyle, MT ou Maât ainsi que le grec mathémtique serait à chercher dans NT, ND de nadhi (chercher) plus sen (savoir), sin (deux, double), senath au féminin : Maât serait kabylement parlant liée à la notion de symétrie, ce qui expliquerait "équité, équilibre, etc..." pour cette divinité égyptienne ancienne. Ensuite, il y a les ailes de Maât (voir illustration) : ifer (aile, feuille) en kabyle donnerait la trace... des chiffres ; le djanah (aile) arabe en tout cas n'en a rien à foutre, alors "le zéro arabe, les chiffres arabes" c'est franchement une insulte à la mémoire de l'humanité !

Le terme échec (ici associé à Sethi au vieux/patriarche) serait sans doute une échelle, une grille, un tableau, comme celle de l'échiquier par exemple. Maât simplement l'ordre des choses, par exemple l'ordre de déplacement ainsi que la hiérarchie des figurines des échecs, autrement dit les règles du jeu d'échecs. Échiquier égyptien ancien 100%, où il n'est question ni d'indien, ni encore moins d'arabes :) 

Échec et mat, Sethi-Maât, vulgaires voleurs de mémoire !