samedi 3 janvier 2015

Saint-Cire de Kabylie

La Kabylie sur le toit du monde !

Ce billet fait suite au précédent "Le soldat de plomb".Que les Français de bonne famille me pardonnent d'écorner leur mémoire collective, mais aujourd'hui, l'espace de ce blog, le pont de l'Alma va devenir le pont de l'Armée zouave :), et l'école Saint-Cyr va devenir la Saint-Cire...en Kabylie.

Notre petit soldat pourrait être de plomb, ou de cire (musée madame Tussaud :), ou de sel, ou d'autre consistance molle et fondante, le sordi (le sou) qui n'est pas dûr comme le douro (de l'espagnol duro) qui vaut cinq sordis (sous, centimes).

Le soldat de cire
Vous savez, c'est un avantage d'être polyglotte :) Le rapprochement Soldat (Armée)-Solde-Plomb (ou Cire ?) en plusieurs langues m'a permis assez facilement de trouver la bonne piste, le lien qu'il fallait trouver, et ce dans les langues slaves, jeunes donc assez fraîches et évocatrices.
VSK, WSK en russe, polonais sont dans voysko (armée) et vosk (cire).

Le petit soldat de cire, le zouave de cire serait très probablement...une bougie. 
De la cire de bougie qui se consomme, qui fond.
Le terme bougie en français vient tout droit de Kabylie : Vegayeth (Bougie) notre capitale kabyle.
Bougie (Vegayeth), la capitale kabyle, connue pour exporter, en plus de l'huile kabyle (huile d'olive) du cire d'abeilles pour les bougies. 
Le nom antique de Bougie n'était autre que ... Saldae ! Désormais, on sait d'où vient le terme soldat ! Mais ce n'est pas tout !
source
Zéro
Il peut s'agit de cire d'abeilles (pour les bougies) ou bien d'huile d'olive kabyle (pour les lampes à huile), ou d'autre combustible exporté par la Kabyie vers le monde latin, l'essentiel réside ailleurs ! Outre cet indice de cire de Bougie, on a un témoignage très important : le mathématicien italien Leonardo Fibonnacci a appris et introduit en Europe les chiffres dits "arabes" (quel sacrilège) et les suites à Bougie en Kabylie ! 

Le soldat pourrait être le zéro ou un chiffre. 
La suite mathématique pourrait être simplement la bougie, ou sa lumière, voir même sa suie. On y reviendra plus tard pour les conclusions nécessaires.

En clair, on a deux témoignages concordants sur l'origine des chiffres et du zéro, de la cire ou de l'huile kabyle (huile d'olive). C'est le moment de rendre à César ce qui appartient à César et que justesse soit rendue à la Kabylie, spoliée par les usurpateurs hillaliens avec l'aide de leurs alliés de "l'office français des brevets arabes" créé par Badinguet.